Identification et description | |
---|---|
Intitulé | Compagnie des mines, fonderies et forges d’Alais |
Cote | Forges/2 D 2 |
Source | Compagnie des Mines, fonderies et forges d’Alais |
Dates extrêmes | 1944-1951 |
Localisation | Archives municipales d’Alès |
Source | 1 dossier |
Il faut remonter en 1825 pour retrouver les origines de « la Compagnie des Mines, Fonderies et Forges d’Alais ». Une Société s’était alors formée pour l’exploitation des richesses minérales de la région d’Alès et leur transformation.
En 1828 fut créée la « Société Civile d’exploitation des mines » par M. Auguste Simon BERARD.
En 1830, à la création de l’Usine de Tamaris, elle devint la « Compagnie des Fonderies et Forges d’Alais ».
Les années 1930-1931 marquèrent un tournant. À cette date prit fin la fabrication des rails à l’acier Martin qui était une des activités essentielles des Forges d’Alais. Ceci par suite de la politique d’économies pratiquée par le P.L.M. après la crise de 1929-1932, et la concurrence des rails à l’acier Thomas produits à meilleur compte par les usines de l’Est et du Nord.
Les usines de Tamaris ne conservèrent en activité que des fours à coke Harvey pour la production d’aciers spéciaux, de laminoirs, ainsi que les ateliers de construction métallique et de chaudronnerie. La fonderie et la construction métallique se spécialisèrent dans le travail de qualité : pièces de coques pour navires, pièces pour presses hydrauliques et matériel électrique.
Si en 1881, l’effectif était de 1 600 personnes, un siècle plus tard, en 1982, il n’est plus que de 700 personnes.
Usine, quartier de Tamaris, Alès.
Dépôt de la Société des Aciéries du Haut-Languedoc, septembre 1986.
Commission des jardins ouvriers : bureau et membres.
Libre
Libre
Index des lieux : Alès (Gard, France)
Index des mots-clés : Jardins familiaux, Entreprise