La Préhistoire : les fouilles archéologiques effectuées chaque été depuis plus de dix ans ont permis l’étude de l’ensemble du complexe mégalithique du bois de Fourgon et la mise au jour de vestiges d’habitats du Néolithique (datation la plus ancienne : trace d’activité humaine 9784 avant J.C.)
De la Renaissance au XXe siècle : une avenue plantée d’arbres aboutissait à la cour d’honneur du Château, bordée de part et d’autre de végétaux géométriquement compartimentés. Du côté parc, axée perpendiculairement sur la façade, se développait une composition décorative enserrée dans des canaux dont le grand étang, creusé et dallé au XVIIIe siècle, recueillit les eaux. Le plan Trudaine témoigne encore de cette ordonnance.
Au début du XIXe siècle, la mode du jardin anglais met fin au règne du cordeau et de l’équerre : des arbres exotiques venus des Amériques, du Liban, de Sibérie... ornent des allées sinueuses.
Ferme et importants communs cotoient désormais le Château au centre de son domaine agricole jusqu’à la fin du XXe siècle.