Le parc fut planté dès 1770 de nombreux hêtres devant le château, de jardins « à la française » derrière (côté est et sud) et de bosquets ordonnancés dans la pente aujourd’hui limitée par la voie de chemin de fer.
Les hêtres, deux fois centenaires, tombèrent peu à peu au cours des différentes tempêtes (1976 et 1999), ils ont souvent été remplacés par des tilleuls ne pouvant pas être atteints de maladies.
Le parc est divisé en plusieurs parties :
- de l’entrée des communs à la cour d’honneur : tilleuls, ifs À l'italienne, hêtres bi-centenaires, roses à l’ancienne, allées bordées de feuillus divers, persistants et conifères ;
- de la cour d’honneur à la charmille : partie remodelée par le paysagiste anglais Russel Page, deux bassins animés de jets d’eau, jardins de fleurs divisés en 16 triangles, entourés de haies d’ifs. Nombreuses variétés de vivaces. Cèdre du Liban datant d’environ 1770, rampe de glycines, imposant magnolia...
- jardin romantique qui aurait été créé (non confirmé) par les frères Dûchesne. Partie « Rousseauiste » du site créée fin XIXe siècle avec des cascades circulant façon bois de Boulogne depuis les bassins de Russel Page à l’étang en contre-bas.