Identification et description | |
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Nom du jardin | Golf d'Ardenne |
Nom ancien | Domaine royal d'Ardenne |
Date de création | vers 1837; vers 1876 (exécution du projet du parc et tour Léopold) |
Province | Namur |
Arrondissement | Dinant |
Commune | Houyet |
Auteur/ Créateur | Elie Laîné, paysagiste français (vers 1876) |
Coordonnées | Ardenne5560, Houyet |
Localisation | Latitude : 50.1854752 |
Longitude : 5.0099689999999555 |
La seigneurie d'Ardenne faisait anciennement partie du ban de Houyet dans le Comté de Rochefort. Au XVIIe siècle, elle appartient à la Maison d'Argenteau puis, après 1789, à la famille Harroy, ensuite à M. Urban, Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées. Le 21 mars 1837, le roi Léopold Ier achète « la terre d'Hardenne et de Férage », un domaine de 708 hectares (LEFEBURE, p. 565) qu'il agrandit au fil des ans par l'achat de terres, de bois et de châteaux. Parmi ceux-ci : la terre de Custinne (1838) et son château féodal, y compris trois corps de ferme, une distillerie et une huilerie, la ferme de Briquemont ( 1839), la propriété de Ciergnon (1840) sur laquelle il fait construire un château en brique par l'architecte Durinage et la terre de Montgauthier (1844). L'ensemble constitué d'un seul tenant compte plus de 4.000 hectares. Dès 1843, Léopold Ier fait élever à l'aplomb du coteau dominant la Lesse une tour carrée de trois étages - la tour du Rocher - sur le modèle de la tour du parc de Windsor. Modernisée puis abandonnée en ruine, elle a été dynamitée en 1971. Les terrains qui recouvrent le plateau schisteux exposé aux vents sont froids, secs et peu fertiles.Le Roi qui occupe un relais de chasse fait réaliser des travaux conséquents pour améliorer les qualités du sol, faisant notamment transporter des terres depuis les abords de la Lesse et installer des citernes pour la survie de certains arbres. Au milieu du XIXe siècle, les travaux et la surveillance du domaine « occupent 60 à 70 travailleurs, une douzaine de gardes et trois ou quatre jardiniers » (GILLES, p. 4). Le Roi apprécie particulièrement ses séjours à Ardenne consacrés à la chasse, à la promenade dans le parc, à la visite des pépinières et de la faisanderie (GILLES, p. 6). A sa mort, le domaine est attribué à Léopold II et à sa sœur l'Impératrice Charlotte mais, suivant une convention de 1874, le Roi gère seul la propriété.A partir de cette époque, il fait construire par l'architecte Balat un château à l'emplacement du relais de chasse et, en 1878, une tour néogothique en pierre calcaire - la tour Léopold - au point le plus élevé du parc. Dans le souci de promouvoir le tourisme dans la région, Léopold II décide de faire du château d'Ardenne un hôtel de grand luxe pour les rendez-vous de chasse, équivalent à celui d'Ostende qu'il patronne au même moment. Le complexe bâti comprend un corps central de deux niveaux et demi cantonné de deux tours carrées coiffées de hautes toitures bulbeuses, le tout prolongé de chaque côté par des ailes basses reliant des volumes de dépendances perpendiculaires.En 1897, un nouveau corps de bâtiment en L est construit par l'architecte Chambon en regard des dépendances est. Cette annexe compte une centaine de chambres destinées à une riche clientèle internationale. Devant l'entrée du château, un bassin rectangulaire aux angles découpés est orné de deux groupes sculptés par Thomas Vinçotte, représentant des chevaux fougueux placés sur des socles hexagonaux. Des plates-bandes de gazon encadrent le bassin aménagé au pied d'un court talus franchi latéralement par deux volées droites d'escalier. Des parterres de gazon entourent le long bâtiment annexe. En regard de l'autre façade (sud) du château, se déploie une vaste composition en hémicycle coupée de sentiers mettant en valeur deux parterres symétriquement organisés autour d'éléments sculptés.Le parc est agrandi et transformé par le paysagiste français Elie Laîné qui travaille également pour Léopold II à Ciergnon et à Tervuren. Celui-ci met en place un grand dispositif paysager où de longs chemins courbes de promenade relient plusieurs constructions décoratives élevées par A. Balat (la tour Léopold, la chapelle) ou contemporaine (le théâtre en plein air). Tracés avec l'aide personnelle du Roi, le réseau de chemins et de sentiers traverse le parc et les bois attenants, constituant un parcours de près de 70 km. Le paysagiste dispose au cœur de la composition des îlots et des massifs arborés de forme étirée ceinturés ou traversés par des chemins. A partir de 1889, l'hôtel du Château d'Ardenne est desservi par une gare privée en bordure de la Lesse. Adossée au rocher, la « halte d'Ardenne » est construite comme la tour Léopold dans le style néo-gothique. Depuis celle-ci, un long chemin forestier escarpé, passant à proximité de la tour du Rocher, conduit des calèches jusqu'au château après une traversée des sous-bois. Le château connait sa prériode la plus prospère entre les deux guerres. Il compte alors un terrain d'aviation et des courts de tennis. Si un terrain de golf existe sans doute dès 1895, le parcours du golf-club est officiellement inauguré en 1903. Aménagé au coeur du parc paysager, il perturbe à certains endroits la composition de Laîné et condamne une partie du vaste réseau de promenades. Le riche décor des jardins réguliers qui accompagnent le château disparaît progressivement suite aux dommages subis durant les deux guerres et à la fermeture définitive de l'exploitation hôtellière en 1949. Ravagés par un incendie en 1968, le château et ses nombreuses annexes sont rasés l'année suivante. La chapelle échappe à la destruction. Aujourd'hui, rien ne subsiste du vaste complexe architectural conçu pour Léopold II. Toutefois, un plan d'eau aux berges naturelles aménagé à l'emplacement du bassin du château, permet d'estimer l'occupation ancienne des bâtiments. Aujourd'hui, la tour Léopold seule conservée (et restaurée), située en position dominante, apparaît comme l'élément organisateur du parc en direction duquel de longues perspectives ont été maintenues. Malgré les dommages et les pertes encourus au cours du XXe siècle, le domaine royal d'Ardenne conserve d'évidentes qualités paysagères valorisées par la situation extrêmement protégée du site et le caractère relativement confidentiel de la propriété.
Éléments architecturaux : A l'entrée du domaine, bornes en pierre frappées de la couronne royale. A l'altitude la plus élevée du parc (au sud-est du château disparu), importante tour en pierre calcaire, de style néogothique, construite en 1878 pour Léopold II. Elevée sur un haut soubassement en forme de bastion abritant des caves, elle est flanquée d'une tour carrée plus étroite et plus haute et d'une annexe d'un seul niveau formant avancée polygonale. Les trois volumes sont couverts de toitures plates bordées de murs de courtine crénelés. L'édifice a été réaffecté dès 1949 en club-house du golf. A cet effet, l'ancien bastion-belvédère a été converti en terrasse couverte. A proximité de l'emplacement du château disparu, chapelle en brique et pierre calcaire sur un soubassement en moellons; également construite par Balat, elle est le dernier vestige du vaste complexe architectural. Le chœur carré est flanqué de deux chapelles latérales et de deux courtes nefs formant un plan central. L'ensemble est couvert de toitures d'ardoise dominées par un petit campanile sommé d'une flèche bulbeuse qui marque le chœur.En partie nord, établi face au château, théâtre en plein air semi-circulaire (exèdre de 20 mètres de diamètre) en pierre de taille réalisé en 1890-1891 par l'entrepreneur Léanne de Namur. Le « parterre » surélevé est bordé en périphérie par des banquettes en hémicycle interrompues par deux courts piliers et terminées de deux figures de lions ailés. L'emmarchement de quatre degrés était précédé d'une « scène » dallée.Dans les bois au nord, dans la vallée de l'Ywoigne, subsistent deux glacières sous tertre ainsi que d'importants vestiges de ponts et d'ouvrages d'enrochement. L'ouvrage principal est une grotte artificielle en blocs de calcaire assemblés avec des briques et du ciment sur une armature métallique. De la grotte s'échappe un écoulement d'eau approvisionnant plusieurs vasques en béton franchissables par des plots en fausse roche. Léopold II âgé aimait se retirer à cet endroit de fraîcheur et de calme. Jadis, un escalier tortueux en béton imitant le branchage reliait le chemin et la grotte.En limite est du parc, anciennes maisons de service : deux petites constructions jumelées en brique peinte reliées par une aile basse (anciennes écuries) sommée d'un pigeonnier, suivi d'une maison basse à couverture débordante (ancienne boulangerie). Au pied du versant boisé ouest, en bordure de la Lesse, ancienne gare privée construite pour Léopold II vers 1889, le long de la ligne Dinant - Houyet - Jemelle, et jadis réservée aux résidents de l'hôtel. Désaffectée et aujourd'hui abandonnée, la « halte d'Ardenne » est constituée d'une tour carrée en moellons de calcaire et pierre de taille, à toiture plate délimitée par des courtines crénelées avec échaugette sur l'angle, assise au milieu d'une vaste construction circulaire avec terre-plein depuis lequel une rampe ascendante en spirale rejoint le pied du coteau. De là, un sentier taillé dans le rocher puis une longue course dans les bois permettaient aux véhicules de rejoindre le parc par le nord et le château.
Éléments végétaux : Les plus vieux arbres du parc relèvent des années 1830-1840 mais la majorité des plantations ont été mises en place suivant le projet de Laîné vers 1876-1880. Les parties forestières du parc se caractérisaient par une végétation indigène du type chênaie à charme. Des écrans forestiers délimitaient des couloirs de verdure ponctués de quelques bosquets ou sujets isolés. Sur les surfaces gazonnées et aux croisements des chemins, des bosquets décoratifs étaient principalement composés d'essences persistantes avec dominance d'if, de cyprès et de houx. Un recensement dendrologique dressé en 1912 par la Société centrale forestière de Belgique (excursion du 25 juin 1912) liste 32 variétés de conifères où figurent de nombreux épiceas (Picea alba, Picea ajanensis, Picea Glehnii, Picea Hondoensis, Picea sitkaensis), sapins (Abies balsamea, Abies lasiocarpa, Abies nobilis, Abies cephalonica, Abies Nordmanniana, Abies brachyphylla), cèdres (Cedrus atlantica, Cedrus libani), pins (Pinus cembra, Pinus pinaster, Pinus rigida), cyprès (Chamaecyparis lawsonniana, Chamaecyparis obtusa, Chamaecyparis pisifera 'Filifera'), deux tsugas (Tsuga canadensis, Tsuga diversifolia), trois thuyas (Thuja gigantea, Thuja japonica, Thuja occidentalis), un douglas (Pseudotsuga douglasii) et un genèvrier (Juniperus virginiana). En 1948-1949, d'importantes replantations ont encore été effectuées sur demande de la Donation Royale afin de remplacer les végétaux morts lors de la sécheresse de 1947 et de rentabiliser les zones laissées à l'abandon suite à la fermeture de l'hôtel. Il s'agissait majoritairement de résineux (épiceas, mélèzes, douglas) et, ponctuellement, de feuillus implantés sur les surfaces gazonnées.Depuis la route nationale Dinant - Wellin, une longue allée double plantée de tilleul à grandes feuilles (Tilia platyphyllos) sur une longueur de plus de 500m dans le domaine se prolonge, sur une courte distance, de l'autre côté de la voirie. La majorité des hauts conifères de la propriété sont regroupés aux abords de la tour Léopold. Parmi ceux-ci, on retrouve de très beaux calocèdres (Calocedrus decurrens), un cèdre (Cedrus deodara) et de nombreux cyprès (Chamaecyparis nootkatensis, Chamaecyparis obtusa, Chamaecyparis pisifera 'Squarrosa'). Près de l'entrée, un alisier de Suède (Sorbus intermedia) et des sapins blancs (Salix alba). Dans le parc, nombreux sujets isolés : trois douglas (Pseudotsuga menziesii), un beau thuya (Thuja plicata) et un sapin de Nordmann (Abies nordmanniana). Dans les grands massifs arborés s'élèvent principalement diverses variétés de sapins (Picea abies, Abies alba, Abies homolepis, Abies koreana) et quelques pins (Pinus pinaster).Les feuillus les plus remarquables sont des frênes (Fraxinus excelsior et Fraxinus pennsylvanica 'Aucubifolia'), des charmes houblon (Ostrya carpinifolia) isolés et un très beau chêne pédonculé (Quercus robur). Des hêtres pourpres (Fagus sylvatica 'Atropurpurea'), des robiniers (Robinia pseudoacacia), des tilleuls et des érables en variétés constituent la population des massifs arborés et des franges végétales en lisière des zones boisées au nord. Une végétation dense de type couvre-sol tapisse les scènes de roche où apparaissent de beaux groupes de fougères (Asplenium nidus).
Potager : Lors de l'aménagement du domaine royal, plusieurs vergers de hautes-tiges existaient en périphérie du parc sur une superficie de plus de 8 hectares. Ceux-ci ont été exploités jusque vers 1930 puis remplacés par diverses plantations. A ce jour, aucune surface de culture, potagère ou fruitière, n'est maintenue sur le site.
L'eau : L'aménagement initial du parc comprenait la création de deux pièces d'eau et d'un réservoir. Un plan d'eau en haricot (980 mètres carrés) était creusé au pied de la tour Léopold; ce bassin a disparu au profit de la création d'une zone de parcage en accompagnement de la tour réaffectée en club-house. Un petit bassin décoratif (500 mètres carrés) ornait la cour d'honneur du château. Un troisième bassin, de plus grandes dimensions et en contrehaut du premier, servait de réservoir pour l'approvisionnement de l'ensemble du réseau du domaine. En contrebas de la tour Léopold subsiste un large plan d'eau aux berges colonisées par des roseaux (Typha latifolia), isolé au cœur des surfaces gazonnées. Dans les bois au nord du théâtre en plein air, la fontaine Léopold alimente un écoulement qui, à travers une faille rocheuse et plusieurs petits points d'eau artificiels rejoint, en contrebas, un plan d'eau naturel.
État de conservation : D'importantes opérations de fouille et d'apports de terres prises sur les bords de la Lesse sont effectuées par Léopold Ier au milieu du XIXe siècle pour tenter d'agrémenter les abords de son relais de chasse. Devant le château, il fait notamment aménager un réservoir enfoui dans le sol pour le développement d'un saule pleureur. Les grands travaux de plantation sont effectués pour Léopold II à partir de la fin des années 1870, sur un plan du paysagiste Elie Laîné. Celui-ci prévoit aux abords du château nouvellement construit par A. Balat (1874 à 1891) des jardins réguliers répondant aux façades : un bassin au nord et une large composition en hémicycle au sud. Une suite d'éléments taillés accompagne le pied de la façade sud du volume annexe. En regard de ce pignon, un parterre gazonné est orné dans ses angles de plates-bandes en forme de croissant et, en son centre, d'une étoile.La majeure partie de la propriété est constituée d'un grand parc paysager traversé par de nombreuses promenades courbes reliant les différentes constructions utilitaires (maisons de services) et décoratives (tour du Rocher, tour Léopold, théâtre, chapelle). Deux plans d'eau-réservoirs alimentés grâce à un pompage dans la Lesse sont creusés aux abords de la tour Léopold. Des scènes de roche incluant plusieurs ponts agrémentent le coteau nord boisé descendant vers la vallée de l'Ywoigne.La création d'un parcours de golf, peut-être dès 1895, implique très tôt des modifications du relief du sol et des coupes franches dans les massifs arborés du parc. A ce jour, il est difficile de savoir si Laîné a tenu compte, dans l'exécution du projet initial, de l'implantation d'un parcours de golf ou si celui-ci a fait l'objet d'un projet légèrement ultérieur. Le 23 août 1968, le château est ravagé par un incendie et rasé l'année suivante. A cette époque, les jardins réguliers ont déjà pratiquement disparu. En 1971, la tour du Rocher, déjà victime d'un effondrement de ses fondations, est dynamitée. Aujourd'hui, les constructions subsistantes (tour Léopold, théâtre en plein air, chapelle et gare en ruines) isolées ne participent plus d'un parcours paysager cohérent. Toutefois, une longue perspective enherbée accélérée par deux fronts arborés met joliment en valeur la tour depuis le sud. En 1990, le golf qui ne comptait plus que douze trous depuis la guerre a été agrandi. De nouveau « fairways » ont été créés dans la partie nord du parc alors laissée en friche, permettant la mise en valeur d'ancien bosquets et de quelques arbres remarquables. Malgré la perte progressive de son vaste réseau de promenade au profit, notamment, du parcours de golf, le parc conserve de beaux massifs arborés tandis que des plantations incohérentes ont été mises en place dans les surfaces gazonnées des « fairways ». Dans le coteau nord, les scènes de roche laissées à l'abandon disparaissent sous un couvert de mousse et de groupes de fougères.
Maintenance : Le grand plateau occupé par les surfaces de jeu et l'allée d'accès font l'objet d'un entretien rigoureux répondant aux exigences d'un club de golf de prestige. La zone boisée au nord fait l'objet d'une gestion forestière sans qu'une attention particulière soit réservée aux aménagements pittoresques (ouvrages d'enrochement) qui y sont conservés.
Le parc remarquablement planté semble aujourd'hui organisé autour de la tour Léopold construite après 1874 au point le plus élevé du parc. © N. de Harlez
Carte chorographique des Pays-Bas autrichiens du Comte de Ferraris (1771-1777) : 139/3
Carte topographique 1.20.000e (Dépôt de la Guerre) : 54/5 (Achêne) Impr. coul. 1933
Carte topographique 1.10.000e (Institut Géographique National) : 54/5
Orthophotoplan 1.10.000e (Service Public de Wallonie) : 54/5/1
Autre(s) source(s) cartographique(s) :
Domaine royal d'Ardenne. Plan aquarellé ??????
Autre(s) source(s) iconographique(s) :
VASSE Abraham-Jacques, La province de Namur pittoresque ou vues des châteaux, des sites pittoresques, des
ruines et des monuments de la province, dessinées d’après nature. Lithographiées par
Lauters, Fourmois, Ghémar, Kindermans, Bruxelles-Paris, [1844].
Le pavillon d'Ardenne. Lithographie P. Lauters d'après un dessin de A.-J. Vasse (Coll.
Archives du Palais Royal, Fonds comte et comtesse de Flandre, 737).
Vue du château d'Ardenne : la tour du château (1846). Lithographie L. Ghémar (coll.
Archives du Palais Royal, Fonds comte et comtesse de Flandre, 691).
Houyet. Château royal d'Ardenne. Vue prise de la tour Léopold. Carte postale, Ed.
Nels, Ern. Thill, Bruxelles, s.d. [avant 1940].
Série de cartes postales (coll. Dethise) In : GILLES M., « Le château d'Ardenne »,
Les Cahiers de la Lesse, n°1, 1993.
BAUDOUIN Jean-Claude et de SPOELBERCH Philippe, Arbres de Belgique. Inventaire dendrologique 1987-1992, s.l., 1992, p. 297; 459-460.
GILLES M., « Le château d'Ardenne », Les Cahiers de la Lesse, n°1, 1993.
LEFEBURE R., « La Donation Royale », Revue Générale Belge, 1952 (août), p. 565.
Le patrimoine monumental de la Belgique Wallonie, Liège, P. Mardaga, 1972 à 1997, vol. 2, t. 22, p. 812-814.
NAZE F., Le Domaine d'Ardenne. Historique. Syndicat d'lnitiative. Document dactylographié, s.d.
RAGUET X., Historique du parc du Château royal d'Ardenne. Projet de restauration des lieux, mémoire à l'Institut supérieur industriel de la Communauté Française, Gembloux, 1996.
VASSE Abraham-Jacques, La province de Namur pittoresque ou vues des châteaux, des sites pittoresques, des ruines et des monuments de la province, dessinées d’après nature. Lithographiées par Lauters, Fourmois, Ghémar, Kindermans, Bruxelles-Paris, [1844], p. 9-10.
Publié : oui
Superficie : 60 hectares (plus de 85 hectares en 1892)
Auteur du formulaire : Serge Delsemme / Nathalie de Harlez de Deulin
Date de création de la notice : 2002-04-29
Statut du jardin : privé
Accueil du public : fermé au public
Type de jardin : Paysager